Un des investissements locatifs qui séduisent le plus les Français : la loi Pinel. En effet, il est question de louer de l’immobilier qui génère des loyers certes, en plus d’une réduction d’impôt qui est basée sur le montant de l’investissement. Ce qui donne lieu à un bon rendement dans l’ensemble, à condition d’avoir mis en place la bonne stratégie et en anticipant les risques. En ce (souscrire à une assurance garantie impayés.
Les risques sur l’engagement
Pour louer sous le dispositif Pinel, l’investisseur est dans l’obligation de se soumettre à une période d’engagement : 6 ans, 9 ans ou 12 ans. En cas de non-respect, il court le risque de perdre ses avantages fiscaux. Pour rappel, ceux-ci sont de 12%, de 18% ou de 21%, en fonction du choix de la période susmentionnée.
Les principales causes de sortie anticipée Pinel : divorce ou décès de l’investisseur. Dans les deux cas, le bail en cours doit être maintenu jusqu’à son échéance. En cas de non-renouvellement, les locataires doivent être informés par lettre recommandée avec accusé de réception, et en respectant le préavis stipulé dans le contrat.
Un plan de défiscalisation mal anticipé
Ce risque peut être tout à fait écarté à condition de réaliser toutes les simulations nécessaires avant l’engagement. Sachez que la loi Pinel, qui est un dispositif défiscalisant, génère des loyers qui sont imposés. Ainsi, la simulation doit porter sur le gain fiscal, compte tenu de ces paramètres. Si l’investisseur est faiblement imposé, il vaut mieux s’abstenir d’y souscrire.
Pour conclure, le succès d’un investissement Pinel) [...]